samedi 10 octobre 2020

12. / 12. - Invisible Man Blues - 12/ 12. (L'aide de Hedd).

O Hedd                                                                                                                                                       Hurle à la défaite de leurs fanfares         Au trop plein des poètes et chamans virtuels ; puis tous ces managers !? 

O Hedd                                                                                                                                                            Annonce que Mesrine, ni le meurtier de Vilnius, ne sont pas des héros                 Et pas, plus de sombres cohortes pour Jésus ! ni soldats ! ni icônes !                     Se blanchir dans l'invisibilité plutôt que la gloriole.  

                                                                                  Des assomoirs de mots boulangent au vide de l'internet                                                                         mais, à jamais, la question de la juste ponctuation finale demeure posée.

(Ne cherchons que la Note Bleue              et CELA est le seul CHANT de l'annonciation...)

 Versions rares, en anglais,  du poème SENSATIONS ! d'Arthur Rimbaud, mis en Musique et interprété par Robert Charlebois.

"Le but véritable des douzaines, c'était de rendre un gars fou au point qu'il se mette à pleurer et que la fureur l'amène à se battre [...]Que diable, c'est en jouant aux douzaines que nous nous formions l'esprit." - Rap Brown, 1969 ; et trouvé dans "Talkin' That Talk. Le Langage du blues, du jazz et du rap..." de Jean-Paul Levet.



Dans la tradition blues par les douzaines, il s'agit de "clouer le bec" à l'autre sans perdre son sang-froid et sans en venir aux, signes d'impuissance. J'ai écrit, en 2015 à Saint Amand-les-Eaux, cette douzaine..., pour fêter, jadis, l'arrimage de mes 59 années d'imposture, 12./12. Invisible Man Blues, ...à l'écoute du compact-disque Tangle Eye the Original Alan Lomax Recording et aux lectures de Talkin' That Talk Le language
du blues, du jazz et du rap, dictionnaire anthologique & encyclopédique de Jean-Paul Levet et du roman Homme invisible, pour qui chantes-tu ? De Ralph Elisson.

Redécouvrir et relire ces courts poémes me pousse aujourd'hui à écouter des Musiques & chansons que je n'avais à l'époque mis en lien avec ce "travail", à l'exception de celles de la compilation d'Alan Lomax.

Christian-Edziré Déquesnes, le 15.09.2020. 
 
 

BLUES[...]Brouillage, camouflage du message et manipulation (sur ce point également avant-propos) En tant que moyen d'expression d'une minorité exploitée, le blues est porteur d'un non-dit satirique ou critique et manipulateur : "Il (le discours) porte, à qui sait entendre le langage inaudible au-delà des mots entendus, l'annonce symbolique et secrète de la libération".

Robert Merle, préface de Homme invisible, pour qui chantes-tu ?     de Raph Ellison, 1947.

BLUES[...]Brouillage, camouflage du message et manipulation (sur ce point également avant-propos) En tant que moyen d'expression d'une minorité exploitée, le blues est porteur d'un non-dit satirique ou critique et manipulateur : "Il (le discours) porte, à qui sait entendre le langage inaudible au-delà des mots entendus, l'annonce symbolique et secrète de la libération".

Robert Merle, préface de Homme invisible, pour qui chantes-tu ?     de Raph Ellison, 1947.


mercredi 7 octobre 2020

12. / 12. - Invisible Man Blues - 11/ 12. (L'X).

O Xgala                                                                                                                                                           Merci de confirmer                                                                                                                                          La nouvelle langue oubliée.

O Xgala                                                                                                                                                       Dissous Canibaliaeth* de mon imposture                                                                                                        avec sans la Kokhakhola.

Plutôt Rosie qui n'a pas tout dit de lui.                                                                                                            Il écrabouille les pissenlits du silence                                                                                                               mais les aiguilles bleues à mon invalidité veillent.

 (Ce que tu apprends à tes dépends                                                                                                       enregistre que CELA n'est pas un guet-apens. )

*En gallois : cannibalisme. 

"Le but véritable des douzaines, c'était de rendre un gars fou au point qu'il se mette à pleurer et que la fureur l'amène à se battre [...]Que diable, c'est en jouant aux douzaines que nous nous formions l'esprit." - Rap Brown, 1969 ; et trouvé dans "Talkin' That Talk. Le Langage du blues, du jazz et du rap..." de Jean-Paul Levet.



Dans la tradition blues par les douzaines, il s'agit de "clouer le bec" à l'autre sans perdre son sang-froid et sans en venir aux, signes d'impuissance. J'ai écrit, en 2015 à Saint Amand-les-Eaux, cette douzaine..., pour fêter, jadis, l'arrimage de mes 59 années d'imposture, 12./12. Invisible Man Blues, ...à l'écoute du compact-disque Tangle Eye the Original Alan Lomax Recording et aux lectures de Talkin' That Talk Le language
du blues, du jazz et du rap, dictionnaire anthologique & encyclopédique de Jean-Paul Levet et du roman Homme invisible, pour qui chantes-tu ? De Ralph Elisson.

Redécouvrir et relire ces courts poémes me pousse aujourd'hui à écouter des Musiques & chansons que jen'avais à l'époque mis en lien avec ce "travail", à l'exception de celles de la compilation d'Alan Lomax.

Christian-Edziré Déquesnes, le 15.09.2020. 
 
 

BLUES[...]Brouillage, camouflage du message et manipulation (sur ce point également avant-propos) En tant que moyen d'expression d'une minorité exploitée, le blues est porteur d'un non-dit satirique ou critique et manipulateur : "Il (le discours) porte, à qui sait entendre le langage inaudible au-delà des mots entendus, l'annonce symbolique et secrète de la libération".

Robert Merle, préface de Homme invisible, pour qui chantes-tu ?     de Raph Ellison, 1947.


dimanche 4 octobre 2020

12. / 12. - Invisible Man Blues - 10/ 12. (Ed l'Edzyhr').


O Ed                                                                                                                                                               Au préau désiré                                                                      
Tu es celui à celle.

O Ed Eulalie                                                                                                                                                Tour du guetteur                                                                                                   
De je plus que haut.   

Plutôt une guitare de blé en herbe que la moisson.                                                                                      C'est le suprême Chevalier bleu                                                                                                                     de mon ultime chorus au firmament de l'étoile. 

(Si brisée est la certitude de l'oeuf, la chanson est bonne                                                                         et CELA chanté au chat de faïence.)


"Le but véritable des douzaines, c'était de rendre un gars fou au point qu'il se mette à pleurer et que la fureur l'amène à se battre [...]Que diable, c'est en jouant aux douzaines que nous nous formions l'esprit." - Rap Brown, 1969 ; et trouvé dans "Talkin' That Talk. Le Langage du blues, du jazz et du rap..." de Jean-Paul Levet.



Dans la tradition blues par les douzaines, il s'agit de "clouer le bec" à l'autre sans perdre son sang-froid et sans en venir aux, signes d'impuissance. J'ai écrit, en 2015 à Saint Amand-les-Eaux, cette douzaine..., pour fêter, jadis, l'arrimage de mes 59 années d'imposture, 12./12. Invisible Man Blues, ...à l'écoute du compact-disque Tangle Eye the Original Alan Lomax Recording et aux lectures de Talkin' That Talk Le language du blues, du jazz et du rap, dictionnaire anthologique & encyclopédique de Jean-Paul Levet et du roman Homme invisible, pour qui chantes-tu ? De Ralph Elisson.

Redécouvrir et relire ces courts poémes me pousse aujourd'hui à écouter des Musiques & chansons que jen'avais à l'époque mis en lien avec ce "travail", à l'exception de celles de la compilation d'Alan Lomax.

Christian-Edziré Déquesnes, le 15.09.2020. 
 

BLUES[...]Brouillage, camouflage du message et manipulation (sur ce point également avant-propos) En tant que moyen d'expression d'une minorité exploitée, le blues est porteur d'un non-dit satirique ou critique et manipulateur : "Il (le discours) porte, à qui sait entendre le langage inaudible au-delà des mots entendus, l'annonce symbolique et secrète de la libération".

Robert Merle, préface de Homme invisible, pour qui chantes-tu ?     de Raph Ellison, 1947.

jeudi 1 octobre 2020

12. / 12. - Invisible Man Blues - 9./ 12. (Johnny le goude).


O Johnny                                                  Repose ta question question                               C'est quoi, lapidaire ? 

O Johnny                                                   Voilà ma réponse                                            Ch'ét CHAÙ !*  

L'ouvrir plutôt que traîner autour de la gueule de bois.   Battre la démesure en contre temps                          afin de renvoyer le tic-tac numérique des je's de rôles.

(Je reviens de loin                                           et CELA me l'offre.) 

*en picard : C'est CELA ! 


 
"Le but véritable des douzaines, c'était de rendre un gars fou au point qu'il se mette à pleurer et que la fureur l'amène à se battre [...]Que diable, c'est en jouant aux douzaines que nous nous formions l'esprit." - Rap Brown, 1969 ; et trouvé dans "Talkin' That Talk. Le Langage du blues, du jazz et du rap..." de Jean-Paul Levet.



 Dans la tradition blues par les douzaines, il s'agit de "clouer le bec" à l'autre sans perdre son sang-froid et sans en venir aux, signes d'impuissance. J'ai écrit, en 2015 à Saint Amand-les-Eaux, cette douzaine..., pour fêter, jadis, l'arrimage de mes 59 années d'imposture, 12./12. Invisible Man Blues, ...à l'écoute du compact-disque Tangle Eye the Original Alan Lomax Recording et aux lectures de Talkin' That Talk Le language du blues, du jazz et du rap, dictionnaire anthologique & encyclopédique de Jean-Paul Levet et du roman Homme invisible, pour qui chantes-tu ? De Ralph Elisson.

Redécouvrir et relire ces courts poémes me pousse aujourd'hui à écouter des Musiques & chansons que jen'avais à l'époque mis en lien avec ce "travail", à l'exception de celles de la compilation d'Alan Lomax.

Christian-Edziré Déquesnes, le 15.09.2020.

BLUES[...]Brouillage, camouflage du message et manipulation (sur ce point également avant-propos) En tant que moyen d'expression d'une minorité exploitée, le blues est porteur d'un non-dit satirique ou critique et manipulateur : "Il (le discours) porte, à qui sait entendre le langage inaudible au-delà des mots entendus, l'annonce symbolique et secrète de la libération".

Robert Merle, préface de Homme invisible, pour qui chantes-tu ?     de Raph Ellison, 1947.