Plutôt une guitare de blé en herbe que la moisson. C'est le suprême Chevalier bleu de mon ultime chorus au firmament de l'étoile.
(Si brisée est la certitude de l'oeuf, la chanson est bonne et CELA chanté au chat de faïence.)
"Le but véritable des douzaines, c'était de rendre un gars fou au point qu'il se mette à pleurer et que la fureur l'amène à se battre [...]Que diable, c'est en jouant aux douzaines que nous nous formions l'esprit." - Rap Brown, 1969 ; et trouvé dans "Talkin' That Talk. Le Langage du blues, du jazz et du rap..." de Jean-Paul Levet.
Redécouvrir et relire ces courts poémes me pousse aujourd'hui à écouter des Musiques & chansons que jen'avais à l'époque mis en lien avec ce "travail", à l'exception de celles de la compilation d'Alan Lomax.
BLUES[...]Brouillage, camouflage du message et manipulation (sur ce point également avant-propos) En tant que moyen d'expression d'une minorité exploitée, le blues est porteur d'un non-dit satirique ou critique et manipulateur : "Il (le discours) porte, à qui sait entendre le langage inaudible au-delà des mots entendus, l'annonce symbolique et secrète de la libération".
Robert Merle, préface de Homme invisible, pour qui chantes-tu ? de Raph Ellison, 1947.
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