O Françoys En le pourpre défraîchi de L'Olympie La Varsovienne a été rançonnée.
O Françoys C'est ta chanson qui se cogne et ricoche À la lisière des chemises brunes brune des bras tendus.
Dresser le poing plutôt que l'érection de la pendaison. Des soldats perdus payent pour l'hymne à la bière mais le garçon de Dullith met fin à la mascarade.
(Je célèbre le Lou(p) Raide de mon iceberg, c'est CELA plus puissant qu'un Titanic.)
Redécouvrir et relire ces courts poémes me pousse aujourd'hui à écouter des Musiques & chansons que jen'avais à l'époque mis en lien avec ce "travail", à l'exception de celles de la compilation d'Alan Lomax.
BLUES[...]Brouillage, camouflage du message et manipulation (sur ce point également avant-propos) En tant que moyen d'expression d'une minorité exploitée, le blues est porteur d'un non-dit satirique ou critique et manipulateur : "Il (le discours) porte, à qui sait entendre le langage inaudible au-delà des mots entendus, l'annonce symbolique et secrète de la libération".
Robert Merle, préface de Homme invisible, pour qui chantes-tu ? de Raph Ellison, 1947.